Les traces dans le sable
Le vent chaud du désert balayait les immensurables jardins du palais de Persépolis, où les palmiers se courbaient par-dessous la brise nocturne. Allongé marqué par un dais de soie, le mat perse ferma les yeux, donnant son corps dériver dans les obscurcissements du sommeil. Depuis un grand nombre de nuits, il était hanté par une manifestatio